Sup’Biotech : les bons résultats de la première promotion
Les bons résultats de la première promotion
Les résultats de l’enquête professionnelle sur la première promotion de l’école, diplômée en 2009, s’avèrent satisfaisants et très encourageants, dans un contexte économique encore fragile.
Le temps moyen de recherche d’emploi après l’obtention du diplôme est d’un mois. Le salaire annuel brut moyen pour la promotion 2009 est très honorable avec une valeur moyenne de 33 000 € (le salaire le plus haut étant de 44 000 €/an).
Dominance des métiers de la santé
La répartition des postes parmi les secteurs d’activité des Biotechnologies montre une dominance du secteur de la santé (pharmaceutique, matériel biomédical…) pour cette promotion : 2/3 des postes occupés. Viennent ensuite les domaines de l’environnement et la cosmétologie. Ces résultats correspondent aux aspirations d’une promotion. Ces chiffres changeront chaque année, selon les promotions et les aspirations des étudiants.
Parmi les employeurs ayant recruté les premiers diplômés, les PME sont plus nombreuses que les grands groupes. Cela illustre la conjoncture économique actuelle, dans laquelle les grands groupes sont souvent en pleine restructuration.
La grande majorité des diplômés occupent actuellement un poste en corrélation avec les majeures professionnelles proposées dans le second cycle de Sup’Biotech, le « cycle Expertise » : Recherche & Développement ou Marketing & Commercial.
Plus de la moitié des diplômés recrutés à l’issue de leur stage de fin d’études
Parmi les postes les plus souvent occupés : consultants, chargés d’études, chefs de projet Recherche & Développement, chefs de produit junior, chefs de projet essais cliniques, ingénieurs procédés… La majorité des postes concerne finalement la R&D ; ce résultat étant le reflet des vœux de cette première promotion. Les promotions suivantes, qui seront diplômées dans les années à venir, semblent faire une place plus importante aux métiers commerciaux et du marketing. La double compétence sciences/marketing est très recherchée et prisée des recruteurs.
Enfin, parmi la trentaine de diplômés, quelques uns ont fait le choix de poursuivre leurs études, soit dans la voie royale de la recherche fondamentale en se lançant dans la préparation d’un doctorat (financements publics ou privés), soit en complétant leur formation avec une spécialisation s’inscrivant dans un projet professionnel bien précis. Par passion, certains ont ainsi décidé de préparer le diplôme national d’œnologie (DNO), au sortir de Sup’Biotech.