« Sup’Biotech permet d’apprendre à se connaître et à connaître les autres » Rodrigo Lopez (promo 2014), major Marketing & Technico-commercial de la filière Cosmétique.

Cet été, Sup’Biotech vous présente quelques-uns des majors de sa promotion 2014 récemment diplômée. Découvrez le parcours de Rodrigo Lopez, major Marketing & Technico-Commercial de la filière Cosmétique.

Qu’est-ce que ça représente pour toi Sup’Biotech ?
C’est cinq années de ma vie passées dans une école qui m’a bien formé.

Pourquoi avais-tu décidé de rejoindre Sup’Biotech à la base ?
Parce que cette école offrait une double formation marketing et scientifique et qu’elle était aussi spécialisée dans la cosmétique. C’est ce qui m’avait plu. Après, lors d’une journée portes ouvertes, la découverte de l’école, des cours et des activités réalisables en parallèle avait fini de me convaincre !

Qu’est-ce qui t’attire dans la cosmétique ?
Ma mère m’en a toujours beaucoup parlé et ça m’a très vite intéressé. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu travailler là-dedans. En plus, c’est un secteur beaucoup plus libre que la pharma ou l’agroalimentaire : avec la cosmétique, on peut « s’amuser » un peu plus.

En cinq ans passés à Sup’Biotech, qu’est-ce que tu as appris ?
Beaucoup de choses ! Il y a déjà des cours et des projets passionnants, avec des notions scientifiques, de marketing…, le programme est assez vaste, très intéressant et poussé, avec de bons intervenants. Ensuite, Sup’Biotech est aussi un bon endroit pour apprendre à se connaître et à connaître les autres. Quelque part, elle m’a aussi appris à devenir adulte.

Marc Sellam, président-directeur général de IONIS Education Group, et Rodrigo

Quels sont les cours et les projets que tu as le plus appréciés ?
J’ai beaucoup aimé le cours de biologie moléculaire des plantes que nous avons eu en 3e année : l’enseignant était super intéressant et le cours abordait un tas de thèmes différents, y compris la cosmétique par moment. Je retiens aussi les cours de marketing de Jean-Claude Maret qui arrivait toujours à nous filer la patate tout en restant très sérieux.
Pour les projets, il y en a eu tellement que je préfère surtout retenir l’esprit d’équipe. Quand on travaille dur pour arriver à mener à bien un projet, c’est important de pouvoir compter sur un groupe soudé comme j’ai pu en connaître, notamment en 4e et 5e année. C’est du boulot mais aussi du fun. Bref, de très bons souvenirs !

Pour toi, il y a un bel esprit promo à l’école ?
Oui. Notre promotion était vraiment impliquée : on faisait souvent des soirées tous ensemble et on avait même organisé notre propre week-end d’intégration grâce à des ventes de crêpes tous les matins à l’entrée de l’école pendant un mois ! Dès qu’il y avait les partiels qui approchaient, tout le monde s’aidait, se donnait des conseils, organisait des cours… Il n’y avait pas de compétition mais un très bon esprit de fraternité. D’ailleurs, je garde contact avec pas mal des autres diplômés que je vois souvent.

Ce week-end d’intégration, c’est ton meilleur souvenir ?
Oui. On a travaillé dur pour l’obtenir et, quand nous sommes arrivés sur place, c’était parfait. Nous avions choisi un gîte à la campagne avec un grand dortoir. Nous avons tous fait la fête tout un week-end. C’était assez exceptionnel. Les autres week-ends d’intégration n’étaient pas mal non plus, surtout le dernier qui était vraiment super bien organisé par le Bureau des Étudiants, avec des bungalows au bord d’un lac… Comme autre souvenir sympa, je suis obligé de penser à la soirée raclette que nous avions organisée une fois dans les locaux de l’école : ceux qui étaient dans les couloirs le lendemain se souviennent encore de l’odeur ! Et puis, bien sûr, il y a eu mon stage aux États-Unis, à New York ! Même si c’est sans doute l’un des trucs les plus fous que j’ai pu faire ces dernières années, c’était différent puisque je l’avais vécu seul.

Après Sup’Biotech, tu as poursuivi avec une formation d’attaché de recherche clinique. Que fais-tu désormais ?
Je suis en stage chez l’Oréal en tant qu’attaché de recherche clinique pour valider ma formation. J’ai déjà plusieurs entretiens prévus dans la recherche clinique. Cela m’intéresse car c’est à la fois très scientifique mais aussi orienté marketing, avec le relationnel qui occupe une place importante. Je me vois rester dans ce domaine, où alors dans la communication scientifique où il y a plus de marketing.

Enfin, qu’est-ce que ça fait d’être major de promo ?
C’est un peu de prestige et ça fait du bien ! C’est aussi assez impressionnant quand vient le moment de faire un discours devant une salle comble !