« Je referais mes études à Sup’Biotech sans hésiter ! » Lauranne Pujol (promo 2014), major Production & Bio-procédés en Environnement

Cet été, Sup’Biotech vous présente quelques-uns des majors de sa promotion 2014 récemment diplômée. Après Rodrigo Lopez (Marketing & Technico-commercial), voici Lauranne Pujol (promo 2014), major Production & Bio-procédés en Environnement.

Qu’est-ce que ça représente pour toi Sup’Biotech ?
C’était cinq années un petit peu folles qui sont passées très rapidement. J’en garde un très bon souvenir et s’il fallait les refaire, j’irais sans hésiter ! À Sup’Biotech, j’ai appris plein de choses techniques mais aussi humaines, avec le travail entre les promotions, le voyage à l’étranger, etc.

Pourquoi avais-tu décidé de rejoindre Sup’Biotech à la base ?
En sortant du lycée, je ne savais pas trop ce que je voulais faire et la seule chose dont j’étais certaine, c’était mon attrait pour l’industrie et la biologie. J’ai alors trouvé Sup’Biotech via Internet et me suis rendue à l’une de ses journées portes ouvertes. Le fait d’avoir la possibilité de ne pas choisir tout de suite sa spécialisation – et donc de peaufiner son parcours professionnel – m’a séduite. C’était d’autant plus important pour moi à l’époque que la recherche m’intéressait au même titre que la production. Ce n’est que plus tard que j’ai définitivement choisi cette deuxième voie.

Qu’est-ce qui t’attire dans la biologie ?
Avec la biologie, on en apprend tous les jours. Il y a toujours de nouvelles choses à découvrir, à creuser et de nouveaux besoins. Le domaine des biotechnologies est porteur car on les retrouve aussi bien dans la santé que l’environnement, l’énergie ou l’agroalimentaire. En sortant du lycée, je savais que j’allais intégrer une école qui allait m’ouvrir de nombreuses portes.

Quels sont les cours tu as le plus appréciés ?
Mes cours préférés étaient ceux des dernières années qui touchaient au management, que ce soit en France ou à l’International, et à la gestion de projets, avec des intervenants qui nous mettaient directement en situation. On sentait que ces cours allaient nous servir très vite après la sortie de l’école.

Et les projets ?
Sans hésiter, le projet que j’ai le plus apprécié était mon Sup’Biotech Innovation Project (SBIP). Ce SBIP avait pour vocation de développer une solution biologique, complétement neutre pour l’environnement, que l’on peut pulvériser pour éliminer toutes les moisissures dues aux microalgues, aux champignons ou à l’humidité pouvant être présentes sur les murs en extérieur et en intérieur. En tant que responsable du projet, je m’étais impliquée totalement durant deux ans : nous étions même allés à la mairie de Villejuif pour nouer un partenariat ! Ce projet m’a aussi beaucoup appris d’un point de vue humain : à un moment, nous étions confrontés à une situation de crise et nous avons fait en sorte que le groupe redémarre. Au final, nous en sommes ressortis davantage soudés et avons pu travailler comme il le fallait.

Pour toi, il y a un bel esprit promo à l’école ?
Notre promotion s’est vraiment soudée au fur et à mesure. Cela s’est encore amplifié après nos semestres à l’étranger car, quand nous sommes revenus, nous étions encore plus proches les uns des autres. Cela s’est traduit par de nombreux événements : le week-end d’intégration, la soirée raclette, la soirée de Noël, etc. Les SBIP nous ont aussi beaucoup rapprochés car tout le monde s’entraidait. Aujourd’hui encore, ces liens restent très forts et on se voit toujours, notamment lors d’afterworks qu’on organise de temps en temps. C’est un peu comme une deuxième famille.

Quel est ton meilleur souvenir ?
Là, tout de suite, je pense à la cérémonie de remise des diplômes et au moment où on a tous jeté nos coiffes en l’air. C’était aussi un grand moment pour moi parce que j’étais major et j’en étais très fière. C’était également très impressionnant de devoir faire un discours face à je ne sais combien de personnes ! Voir chaque étudiant repartir avec son diplôme me faisait vraiment plaisir car tout le monde le méritait. D’ailleurs, tous les étudiants auraient mérité de venir faire un discours à leur tour ! C’était un joli point final.

Que fais-tu aujourd’hui ?
Je suis consultante au sein de CaduCeum pour les industries de la santé en support production. Pour le moment, je suis en mission à Rouen. J’apporte mon expertise technique pour trouver des solutions sur l’amélioration des procédés du client. Pour cela, je dois prendre en compte plusieurs facteurs : le budget, la main d’œuvre, les coûts et l’infrastructure du bâtiment. C’est très complet et me correspond totalement. Lorsqu’on est consultant, le client nous donne une base mais il faut ensuite chercher encore davantage d’informations. Cela demande donc d’aller voir les employés, de discuter avec eux et de se faire une place dans l’entreprise tout en étant extérieure à cette dernière. C’est une approche nouvelle pour moi et c’est ce que j’apprécie car j’ai toujours besoin de faire quelque chose de nouveau. Par exemple, il est important d’adapter son discours aux attentes et aux besoins de son interlocuteur. J’apprends beaucoup, ce qui est parfait pour un pre
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