De Sup’Biotech au monde professionnel, témoignages

Lucie Dedisse, Flavien Lecointe et Raphaël Chrétien (promo 2014) s’apprêtent à terminer une belle aventure pour en commencer une nouvelle tout aussi intéressante : ils partent bientôt en stage pour terminer leurs cinq années d’études. Avant de sauter dans le grand bain de la vie active, ils reviennent sur leurs parcours respectifs et sur ce que représente pour eux le fait d’appartenir à la grande famille Sup’Biotech.

Entre nostalgie et envie
Le temps file à toute vitesse et ce n’est pas Lucie, Flavien et Raphaël qui diront le contraire. « Arrivé au bout des cinq ans, on se dit que c’est passé très vite, que ça y est, le moment d’entrer dans le monde professionnel est arrivé. Forcément, il y a de la nostalgie. Après, on a quand même hâte de mettre en application tout ce qu’on a appris ici, et on sait que ça va très bien se passer, qu’on va forcément apporter beaucoup de choses à l’entreprise » explique Lucie. Passionnée de cosmétologie et future stagiaire marketing chez Ella Baché (« une PME de cosmétique spécialisée pour les instituts »), elle est arrivée à Sup’Biotech en 2009 après une première année en fac de biologie qui lui avait fait prendre conscience « qu’être au milieu de 500 personnes dans un amphi » n’était pas quelque chose pour elle.

etudiants_supbiotech_stages.jpgLucie, Flavien et Raphaël

Des professionnels avant l’heure
A l’inverse de leur camarade, Flavien et Raphaël ont tous deux intégré l’école juste après le Bac. Eux-aussi partagent une douce mélancolie au moment de partir. « Il y a une petite pointe au cœur, c’est sûr », confirme Flavien. « Un peu perdu » mais déjà certain de vouloir « travailler dans l’environnement » à son arrivée, le jeune homme est aujourd’hui en passe de finaliser son cursus marketing en accomplissant son stage de fin d’études chez Veolia. « L’avantage de Sup’Biotech, c’est qu’on a vraiment un avant-goût du monde professionnel : on n’est pas jeté dans le grand bain soudainement. Les stages sont répartis au fur et à mesure, ce n’est pas cinq ans d’études et, d’un seul coup, on nous dit de tout mettre en application. Il y a des cours puis des passages par l’entreprise, puis des cours, etc. L’alternance est très bien pensée », analyse Flavien.

Bonne ambiance et polyvalence
Outre le fait d’être devenu vraiment « polyvalent » grâce aux « nombreux projets » qu’il a eus à réaliser lors des études à Sup’Biotech, Raphaël retient également de son passage au sein de l’école « l’ambiance » et « l’entraide » qui règnent. « Nous sommes une promo vraiment soudée ! Le week-end dernier, on était 65 à partir – sur une promo de 100 – dans un gîte au Sud de Troyes pour faire des raclettes, se retrouver tous ensemble… La solidarité est aussi très forte avec les anciens : on peut aller les voir à tout moment, ils sont très ouverts ! », raconte-t-il. Féru de travail en laboratoire et passé par un cursus « recherche & développement » orienté en environnement, il se dirige vers un stage en gestion de projet : « L’année dernière, j’ai fait un stage purement en laboratoire et, comme j’ai bien aimé, j’ai donc décidé cette année de continuer en labo. Le projet sur lequel je vais travailler consistera à faire du kérosène à partir de micro-algues : cela accélère le processus et diminue les coûts. »

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