Découvrez notre équipe : Jennifer Battu, assistante pédagogique du cycle Expertise

Si Sup’Biotech existe depuis bientôt 10 ans, c’est grâce à ses étudiants passionnés mais aussi à son équipe. Aujourd’hui, Jennifer Battu, assistante pédagogique du cycle Expertise, passe le test de l’interview souvenirs. On y parle des débouchés post-diplôme mais aussi de Zumba et de barbecue.

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Quelle est votre date d’arrivée à Sup’Biotech ?
Je suis arrivée en octobre 2004, au tout début.

Que faisiez-vous avant de rejoindre l’école ?
J’étais étudiante en BTS assistante de direction en alternance. D’ailleurs, pour la petite anecdote, je travaillais déjà dans un domaine scientifique dans le cadre de mon alternance alors que ce n’est pas du tout ma branche au départ ! C’était à Sanofi, en pleine période de fusion avec Aventis. Vanessa Proux, la directrice de Sup’Biotech, m’a ensuite contactée pour passer un entretien qui s’est très bien passé ! En plus, comme j’étais étudiante à l’époque, ça me tentait bien de commencer par un poste nouvellement créé !

Quel est votre rôle au sein de l’école ?
Mon poste a beaucoup évolué en 10 ans à Sup’Biotech. En interne, en plus d’être assistante du cycle Expertise auprès de Thierry Picaud, je fais le relais avec les associations et notamment celle des anciens, Diplômés Sup’Biotech. J’ai aussi aidé aussi au placement en entreprises des étudiants, au recrutement du cycle Expertise, etc.

Exercez-vous une autre activité en parallèle ?
Mon truc de cette année, c’est la Zumba ! (rires) J’ai commencé en septembre et c’est mon petit moment de détente.

Comment était l’école à votre arrivée ?
En 2004, Sup’Biotech comptait 35 étudiants… on avait tout à construire ! C’était le début d’une grande aventure : j’avais à peine 20 ans et du mal à visualiser le travail à accomplir. Mais au final, ça s’est bien passé ! Les étudiants étaient hyper chaleureux, motivés et toute l’équipe était au front. C’était vraiment agréable.

Qu’est-ce qui a le plus changé depuis ?
Pendant deux-trois ans, il y avait tout à faire. Puis les effectifs ont grandi, qu’il s’agisse des étudiants ou de l’équipe pédagogique. Aujourd’hui, j’ai plus de maturité et une bien meilleure vision quant aux débouchés à la sortie de l’école. L’autre changement, c’est mon rapport aux étudiants : si je reste proche d’eux, c’est malgré tout différent du temps où il y avait moins de 100 étudiants.

Comment le secteur des biotechnologies a-t-il évolué en dix ans ?
À mes débuts, quand on essayait de placer les étudiants en stage, le secteur numéro 1 était celui de la santé. Aujourd’hui, ça explose à tout niveau ! La santé est toujours là mais il y a aussi les secteurs de l’industrie cosmétique, de l’alimentaire, etc. Il y a énormément de débouchés. Et si le secteur de l’environnement a encore beaucoup à faire en France, ça bouge déjà pas mal dans certains pays à ce niveau. Bref, cela a pas mal évolué… et ce n’est pas prêt de s’arrêter !

Quel est votre meilleur souvenir ?
J’en ai plein qui concernent les premières années, comme les toutes premières soirées des étudiants ou le barbecue qu’on organisait en juin-juillet avec tous les étudiants et qui se finissait en musique. C’était très sympa.
Parmi les autres moments forts, il y a toujours le dernier jour de cours des 5es années, en janvier, avant leur départ en stage de fin d’études… ça fait toujours un pincement au cœur de les voir partir ! Et c’est toujours autant émouvant de les voir monter sur scène lors de la remise des diplômes. La cérémonie du Groupe IONIS est prestigieuse et concrétise ce qu’ils ont accompli chez nous. On se dit que nos petits protégés sont devenus grands !

Selon vous, à quoi ressemblera Sup’Biotech en 2024 ?
J’espère que Sup’Biotech aura des locaux supplémentaires. Pourquoi ne pas voir fleurir des antennes en province ? Vu que des bioparcs ouvrent un peu partout, ça peut être une possibilité… Aussi, j’espère qu’il y aura encore plus de sociétés de biotechnologies créées par nos petits loups de Sup’Biotech !

Si vous deviez résumer ces dix premières années en un mot ?
J’en ai deux ! « Mouvement » et « dynamique ». Car même si on a dix ans et qu’on est un peu plus vieux, on garde toujours un esprit jeune !

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