Maladies nosocomiales: état des lieux
Interview en images de Christophe d’Enfert, responsable de l’unité « biologie et pathogénicité fongique » à l’institut Pasteur.
Cette interview réalisée dans le cadre de la collaboration « Ils font avancer la recherche » traite des infections nosocomiales – ces maladies contractées à l’hôpital.
Christophe d’Enfert, responsable de l’unité « biologie et pathogénicité fongique » qui étudie une levure responsable de ce genre d’infection répond aux différentes questions que l’on peut se poser sur le sujet. Quelles sont les maladies nosocomiales ? Comment les prévenir ? Quelles sont les dernières avancées de ce domaine ?
<h2>Institut Pasteur – Christophe d’Enfert</h2><p>Je ne
Christophe d’enfer . Je suis chercheur <a href= »http://video.supbiotech.fr/tag/677/institut-pasteur.html »>institut pasteur</a> . Je dirige une <a href= »http://video.supbiotech.fr/tag/2672/unite.html »>unité</a> qui s’appelle biologie et unicité font J donc nous étudions une levée qui s’appelle candidat indiquant et qui est responsable d’infections nosocomiales .
Le
ces <a href= »http://video.supbiotech.fr/tag/2670/maladies-nosocomiales.html »>maladies nosocomiales</a> existe depuis relativement peu temps . En fait , elles ont été favorisés par les progrès de la médecine . Donc , l’introduction de traitement Munoz suppressions heure la capacité qu’on a traité des personnes de plus en plus faible . L’augmentation des traitements anti- microbes bien à large spectre , l’augmentation des procédures Basile et l’augmentation de l’utilisation de matériels médicaux comme les 4 . Les prothèses .
Je le
Roy les éléments qui vont être importants pour prévenir ces infections nosocomiales . Au moins , on prend en limiter l’incidence c’est être capable de définir quels sont les patients qui sont à risque de ces infections d’être capable de mieux diagnostiquer ces infections et de mieux les traiter donc une partie de l’activité qu’on a dans mon laboratoire , c’est d’essayer de comprendre comment ces bio- film se forme et comment ces bio- film acquièrent une résistance aux Antilles pongistes et du coup , d’essayer de proposer des stratégies qui permettraient de lutter contre la formation des bio- film soit on en prévenant la formation soit en développant des stratégies permettent d’éliminer , c’est mieux .
Je
progrès . On a fait récemment . Il y a des éléments sur la en particulier sur la compréhension dans la manière donc candidat indiquant se forme des bio- film et et des programmes dans la compréhension sur comme candidat indiquant son devient résistant à des traitements anti- Front dit tiens on aujourd’hui , grâce en particulier aux plateformes de crimes Lage chimiques qui sont développées instituts Pasteur d’identifier des nouvelles molécules actives sur candidat unique en combinaison avec d’autres molécules , par exemple , et donc comprendre le mode d’action . Donc ça c’est vrai que c’est des approches qui sont extrêmement tributaire du développement de d’apprendre qu’on appelle aujourd’hui pose génomique donc utilise la compréhension du génome pour rentrer dans les mécanismes moléculaires et donc ce sont des approches . On essaie de développer au laboratoire pour candidat sont disponibles sur un certain nombre de d’organismes pas forcément dynamique en . Donc , c’est une chose qu’on développe et qui peuvent permettent . Du coup , de rentrer dans la compréhension des modes d’action , de nouvelles molécules aller vers leur amélioration éventuellement un jour à l’entrée . Il dit
le jour le</p>
Prolongement des conférences mensuelles destinées au grand public, les formats courts publiés sur le site de Sup’Biotech dans le cadre de la collaboration « Ils font avancer la recherche » exposent de façon simple et accessible les sujets étudiés dans les laboratoires de l’institut.
Ces vidéos viennent agrémenter tous les quinzes du mois la partie « actualités » de Sup’Biotech, rejoignant simultanément les vidéos déjà existantes sur le mini-site consacré aux recherches menées par l’institut Pasteur.