Quatre raisons de rejoindre Sup’Biotech après une PACES
Les étudiants qui décident de rejoindre Sup’Biotech après une première année commune aux études de santé (PACES) le font pour différentes raisons. Certains sont à la recherche d’une formation plus encadrée et plus professionnalisante quand d’autres souhaitent, par exemple, découvrir la pratique en laboratoire ou s’échapper de l’esprit de compétition qui peut régner en médecine. Chloé Bars (Sup’Biotech promo 2016), Céline Cabet (promo 2018), Pauline Coudert (promo 2018) et Constance Moisy-Meilhac (promo 2017), toutes devenues étudiantes à la suite d’une PACES, nous dévoilent les motivations qui les ont poussées à choisir « l’école des experts en ingénierie des biotechnologies ».
« Les semaines d’immersion en laboratoire sont très constructives » Céline Cabet (Sup’Biotech promo 2018)
En arrivant à Sup’Biotech, Céline a pu découvrir un environnement différent de celui de la faculté de médecine (« nous ne sommes jamais seuls, au moindre problème on peut toujours trouver quelqu’un pour nous aider, qu’il s’agisse d’un enseignant ou d’un étudiant ») mais surtout, elle a pu découvrir l’avantage des semaines en laboratoire. « C’est ce côté « pratique » qui m’a motivée à intégrer l’école, explique-t-elle. Les semaines d’immersion en laboratoire sont très constructives. Les séances sont biens réparties et nous permettent de bien nous concentrer sur le TP à réaliser. J’ai découvert des manipulations que je n’avais jamais faites au lycée. Nous sommes en binôme ou trinôme ce qui permet d’alterner les manipulations afin de savoir en faire un maximum. »
« J’ai ainsi enfin pu réaliser que mon expérience de la PACES n’avait pas été un « échec » » Pauline Coudert (Sup’Biotech promo 2018)
Il peut sembler parfois difficile de rebondir après une première expérience étudiante non concluante. Pauline le sait trop bien. « Après la PACES, je cherchais la sécurité et la compétence, confie-t-elle. J’avais même peur d’être complètement « larguée » en arrivant au milieu d’un nouveau cursus. » Ce regain de confiance dont elle avait besoin, l’étudiante l’a trouvé dans « le système proposé par Sup’Biotech » et « ses avantages comme l’importance de l’International, le travail en équipe et les nombreux stages ». Un environnement qui lui a permis de se servir de ses compétences et de sa capacité de travail déjà acquises sur les bancs de la faculté. « J’ai ainsi enfin pu réaliser que mon expérience de la PACES n’avait pas été un « échec » comme je le ressentais avant. J’avais bien quelques d’appréhensions concernant les maths mais des personnes de ma promo m’ont appris comment bien les travailler et ça m’a beaucoup aidée. De plus, l’ambiance est conviviale… c’est un véritable soulagement après les mois de compétition intense que j’ai détestés en médecine ! »
« Je désirais rester dans le domaine de la santé » Constance Moisy-Meilhac (Sup’Biotech promo 2017)
Suite à deux premières années de médecine, Constance désirait « rester dans le domaine de la santé » sans pour autant avoir à « travailler en contact avec le patient ». Son objectif ? Trouver une école qui pourrait alors lui permettre de « devenir chercheuse », ce qui lui semblait être « un bon compromis ». C’est comme ça qu’elle en est arrivée à postuler à Sup’Biotech. « Ce qui m’a décidé, c’est que je pouvais également choisir un autre domaine que la santé en 4e année, si entre temps, j’avais changé d’avis, détaille-t-elle. J’ai été aussi séduite par le programme adapté au besoin des professionnels pour que l’on soit toujours à la pointe de la biotechnologie ! Au final, la formation me parait très bonne en termes d’acquisition de compétences et de professionnalisme ; on nous encadre dans nos projets et on nous aide dans nos recherches de stages. »
« En tant qu’étudiants, nous devons nous diriger vers un secteur porteur pour les prochaines décennies » Chloé Bars (Sup’Biotech promo 2016)
Après l’obtention de son baccalauréat, Chloé s’était dirigée vers une première année de PACES option pharmacie pour, plus tard, « travailler dans l’industrie pharmaceutique ». Une ambition qu’elle n’a pas mise de côté en rejoignant Sup’Biotech, une école qu’elle a principalement choisie pour « découvrir différents domaines, prendre part à des projets innovants et participer ou même organiser des événements touchant à l’actualité scientifique ». « En tant qu’étudiants, nous devons nous diriger vers un secteur porteur pour les prochaines décennies, souligne l’étudiante. J’ai ainsi découvert le domaine de la toxicologie pharmaceutique que les grands groupes pharma développent pour répondre aux nouvelles exigences des autorités de santé. Il ne suffit plus de tester in vitro et in vivo les molécules pour le traitement de pathologies mais de développer de nouvelles techniques et technologies pour rapidement anticiper tous les effets secondaires potentiels lors des essais cliniques de chaque molécule. Cela permet de définir rapidement quelle est la molécule la plus à même de traiter un type de pathologie avec le minimum d’effets secondaires. C’est pourquoi, j’ai fait le choix de la majeur R&D pour m’insérer dans ce secteur en pleine expansion. »
Participez à la journée spécial PACES le jeudi 28 mai 2015
Sup’Biotech co-organise une réunion d’information spéciale PAES/PACES le jeudi 28 mai 2015 de 14 h à 18 h dans les locaux de l’ESME Sudria Paris Montparnasse. Vous pourrez rencontrer des étudiants qui, après cette première expérience, ont choisi de se réorienter vers les biotechnologies ou d’autres secteurs prometteurs.
Programme et informations pratiques disponibles sur la page dédiée