Le nouveau départ de Baudouin De Geyer d’Orth, Noé Legrelle et Estelle Zhang (Sup’Biotech promo 2019)

Comme de nombreux étudiants avant eux, Baudouin De Geyer d’Orth, Noé Legrelle et Estelle Zhang (Sup’Biotech promo 2019) ont décidé de rebondir à Sup’Biotech après une première année commune aux études de santé (PACES). Une façon de découvrir d’autres secteurs d’activités sans pour autant abandonner leur première passion pour la biologie. Pour revenir sur leurs parcours, ces trois étudiants de 1re année se sont prêtés au jeu de l’interview croisée.

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Baudouin, Estelle et Noé

Qu’avez-vous fait avant Sup’Biotech ?
Baudouin : Avant Sup’Biotech, j’ai fait deux années de médecine : une première à l’École de santé des armées (ESA) de Lyon et la deuxième dans le civil à Rennes. Au bout de ces deux ans, il a fallu me rendre à l’évidence : la médecine n’était pas faite pour moi !
Noé : Pour ma part, je suis arrivé à Sup’Biotech après deux PACES à l’Université Paris Descartes.
Estelle : Quant à moi, j’ai d’abord fait une première année de médecine après avoir obtenu un bac S.

Qu’est-ce qui a le plus changé entre votre première expérience en PACES et vos débuts à Sup’Biotech ?
Baudouin : Passer d’une promo de 1 500 étudiants en compétition à une promo de 130 étudiants, avec des classes en petits effectifs et des professeurs qui sont vraiment là pour vous aider.
Estelle : Il n’y a pas cet esprit de compétition que l’on peut retrouver en PACES. Il existe une entraide dans la promo que je ne retrouve pas en médecine.
Baudouin : L’ambiance dans la promo est bonne : on est tous soudés.
Noé : Même si je n’ai pas été trop dépaysé par le contenu du programme enseigné en ce qui concerne les sciences expérimentales, je dois dire que les méthodes d’enseignement sont vraiment différentes. Finis les amphithéâtres de 200 personnes où nous étions livrés à nous-mêmes ! En PACES, je n’étais qu’un numéro dans un amphi, sans aucune relation avec le corps enseignant, alors qu’ici on sent une véritable implication des professeurs et de l’administration qui nous accompagnent.
Baudouin : Le simple fait de pouvoir poser des questions en cours m’avait manqué depuis longtemps !

Pourquoi vous êtes-vous tournés vers Sup’Biotech pour poursuivre vos études ?
Estelle : Je suis très intéressée par la biologie, c’est aussi la raison pour laquelle je m’étais d’abord tournée vers la médecine mais je me suis rendue compte que tout ce qui était anatomie n’était pas fait pour moi, de même que la fac. J’ai commencé à chercher des formations en biologie et ce qui m’a plu dans la formation que propose Sup’Biotech, c’est l’ouverture à l’International et les nombreux stages en entreprises qui nous permettent d’entrer plus facilement dans le monde professionnel.
Noé : Pour moi, les stages ont également joué un rôle important dans mon choix. Le cursus à Sup’Biotech est à la fois innovant – avec les Sup’Biotech Innovation Projects (SBIP) – et professionnalisant – avec ses nombreux stages. Ayant échoué en pharmacie, Sup’Biotech est un bon moyen d’accéder au domaine de la recherche pharmaceutique.
Baudouin : Je voulais un nouveau départ et Sup’Biotech m’offrait cette opportunité. Plusieurs choses ont ainsi retenu mon attention : le large spectre de secteurs d’activités à la sortie de l’école, la culture de l’innovation et l’ouverture à l’International – notamment avec le semestre à l’étranger.

Comment avez-vous vécu votre intégration en 1re année ?
Estelle : Sans problème ! On s’entend bien au sein de la promo.
Baudouin : Au début, je pensais me retrouver uniquement avec des étudiants qui venaient de passer leur bac et je craignais un trop grand décalage entre nous. Finalement, notre classe est composée de camarades d’horizons différents… ce qui permet de construire de belles amitiés. Sans oublier les différentes associations de l’école qui ont participé activement à notre bonne intégration dans la nouvelle promotion !

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La vie associative de Sup’Biotech ne manque pas d’activités !

Comment se déroulent vos cours ?
Estelle : Les journées sont longues et les deadlines de certains rendus sont parfois difficiles à respecter mais, en général, tout se passe bien…, d’autant plus pour quelqu’un qui a fait médecine avant !
Noé : D’un côté, il y a les cours théoriques, en groupe d’environ 50 étudiants, dont le but est vraiment d’acquérir des connaissances, et de l’autre les cours de travaux dirigés où nous nous retrouvons en petits groupes de 30 pour travailler sur des exercices nous permettant d’appliquer ces connaissances. Nous avons aussi des examens presque tous les vendredis, que ce soit sous la forme de QCM ou de contrôles plus classiques. Les travaux pratiques sont quant à eux dispensés lors de semaines spécifiques pendant lesquelles nous n’avons que des manipulations à effectuer et des comptes rendus à rédiger.
Baudouin : Nous restons avant tout des scientifiques et nous devons donc pouvoir maîtriser les notions de bases de laboratoire pour les biotechnologies. Ces semaines spécifiques peuvent être intenses mais elles nous permettent de nous projeter dans le concret.
Noé : Nous avons aussi des semaines de piscine d’anglais avec des préparations pour l’International English Language Testing System (IELTS) et des exercices pour améliorer notre expression orale.
Baudouin : Là aussi, ces semaines sont intenses. En même temps, avoir un niveau d’anglais excellent est indispensable pour l’ouverture à l’International de nos futures carrières.

Quels conseils donneriez-vous aux futurs étudiants de Sup’Biotech ?
Baudouin : Je leur dirais tout d’abord d’être passionnés ! Les biotechnologies sont un secteur tellement large que chacun peut trouver un domaine qui lui plaira : santé, écologie, pharmacie, cosmétique, agroalimentaire…, les possibilités sont infinies, les métiers variés et il reste tant de choses à faire, à inventer !
Noé : Il ne faut pas non plus hésiter à demander de l’aide aux enseignants ou aux autres étudiants si on se sent perdu.
Estelle : Oui car les deux premières années à Sup’Biotech sont quand même des années de prépa ! Il faut tout de même prendre un rythme de travail régulier rapidement.


Participez à la journée spécial PACES le jeudi 28 mai 2015affiche-reunion-information-PACES_supbiotech_journee_biotechnologies_medecine.jpg
Sup’Biotech co-organise une réunion d’information spéciale PAES/PACES le jeudi 28 mai 2015 de 14 h à 18 h dans les locaux de l’ESME Sudria Paris Montparnasse. Vous pourrez rencontrer des étudiants qui, après cette première expérience, ont choisi de se réorienter vers les biotechnologies ou d’autres secteurs prometteurs.

Programme et informations pratiques disponibles sur la page dédiée

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