Rejoindre Sup’Biotech après une première année d’études de santé (PAES), c’est possible ! Découvrez les témoignages de Tiffanie et Rodrigue (promo 2017)

Après une première année d’études de santé (PAES), nombreux sont les étudiants à vouloir se réorienter et certains décident de rejoindre Sup’Biotech après avoir découvert les nombreuses opportunités et innovations qu’offrent l’univers des biotechnologies. Aujourd’hui, découvrez les parcours de Rodrigue Beyaert et Tiffanie Havot (Sup’Biotech promo 2017).

paes-parcours_etudiants_admissions_supbiotech_tiffanie_rodrigue_vie_associative_etudes_biotechnologies_sante_01.jpgLe choix de Sup’Biotech : après une remise en question…
Actuellement en 3e année à Sup’Biotech, Rodrigue Beyaert et Tiffanie Havot ont tous les deux fait le choix de rejoindre l’école après une PAES mais pour des raisons différentes. Ainsi, Tiffanie s’était d’abord tournée vers médecine par défaut d’orientation. « Après mon baccalauréat scientifique, je savais que je voulais faire des études dans le domaine des sciences mais, comme j’étais indécise, je m’étais dirigée vers la fac de médecine pour essayer, explique Tiffanie. Malheureusement, je me suis rapidement rendue compte que ce n’était pas une vocation pour moi de devenir médecin, contrairement à d’autres étudiants : je voyais bien que je n’étais pas autant motivée que certains pour travailler comme il aurait fallu le faire pour réussir le concours. » Ce n’est qu’après avoir pris conscience de son souhait de goûter à autre chose que l’étudiante a découvert Sup’Biotech. « Après médecine, j’ai cherché des études scientifiques plus encadrées, avec un réel lien avec les professeurs et les autres étudiants – ce côté social m’ayant beaucoup manqué en fac, poursuit-elle. Je voulais aussi une école qui pourrait m’assurer un futur plutôt prometteur. J’ai alors regardé plusieurs écoles possibles et j’ai choisi Sup’Biotech après avoir été à une journée portes ouvertes. Selon moi, Sup’Biotech sortait du lot grâce à son large choix de métiers et de domaines de travail. J’ai aussi bien aimé le fait d’avoir trois ans pour commencer à se spécialiser – je trouve que nous sommes trop jeunes et pas assez informés pour faire le bon choix à la sortie du lycée – et l’aspect International qui nous « oblige » à partir étudier un semestre à l’étranger. »

… ou une révélation !
Quant à Rodrigue, l’arrêt de sa PAES coïncide surtout avec une révélation liée aux biotechnologies. « Après ma PAES, j’avais eu le choix de prendre la filière pharmaceutique mais durant le second semestre, nous avons assisté à un cours sur les biotechnologies, raconte l’étudiant. Après ce cours, je me suis senti très intéressé par ce secteur industriel en plein boom. Pour moi, c’était une évidence : il était bien plus intéressant d’étudier les biotechnologies, plus novatrices, plutôt que la chimie pharmaceutique. C’est dans cette optique que j’ai cherché une école dans ce domaine et que je suis tombé sur Sup’Biotech. Avec une formation polyvalente, un axe majeur en biologie et la possibilité de se spécialiser en Recherche et Développement dans le secteur de la Santé/Pharmaceutique, je me suis dit que l’école proposait exactement ce que je recherchais. »

paes-parcours_etudiants_admissions_supbiotech_tiffanie_rodrigue_vie_associative_etudes_biotechnologies_sante_02.jpgDes admissions classiques ou parallèles pour les étudiants
En 2012, Tiffanie est ainsi arrivée en 1ère année en suivant le mode classique d’entrée à Sup’Biotech pour suivre le cycle Bachelor, « c’est-à-dire l’apprentissage des bases de l’enseignement fondamental ». Le tout sans trop de problèmes pour s’acclimater : « Ayant eu des bonnes méthodes de travail grâce à la médecine, j’ai réussi à m’accrocher et à travailler régulièrement et efficacement durant ces deux premières années. À vrai dire, je n’ai pas eu trop de difficultés quant aux validations des passages en années supérieures. » De son côté, Rodrigue a pu bénéficier du mode d’admission parallèle et s’inscrire directement en 2e année en 2013. « Les étudiants nous ont bien accueillis et l’intégration n’a pas été si difficile que ça : les admissions parallèles ont pu se mélanger avec aisance au reste de la promo, assure l’intéressé. En plus, comme la reprise des cours a été précédée d’une mise à niveau dans quelques matières, je n’ai pas rencontré de grandes difficultés à reprendre les cours que j’avais laissés derrière moi au lycée ! »

Une vie étudiante qui séduit aussi
Évoluant dans la même promotion, Rodrigue et Tiffanie sont loin de regretter leur réorientation biotechnologique. Assidus lors des cours, les deux étudiants profitent même de leur temps libre pour participer activement à la vie de l’école. « Au cours de la 2e année, je me suis rapproché d’une étudiante de 5e année afin de reprendre en main l’association culturelle de l’école : Pétri, La Boîte à Culture, glisse Rodrigue. Je voulais faire partager mon amour du théâtre, de l’improvisation, de la lecture et de l’opéra aux autres étudiants. Avec le nouveau bureau, nous nous sommes investis dans la recherche de bons plans et l’organisation de sessions de théâtre afin de faire profiter de toutes ces bonnes choses au plus grand nombre. » Dans un autre registre, Tiffanie a été à l’origine du premier Bureau des Sports de l’école ! « Avec des amis, tous fans de sport, nous avons décidé de créer le Bureau des Sports Sup’Biotech (BD2S) car nous estimions que c’était aussi important qu’un BDE, précise-t-elle. Je me satisfais tout à fait dans mon rôle de secrétaire et responsable du pôle tennis au sein de l’association. Avec le BD2S, nous participons à d
es tournois étudiants et événements sportifs, tels que la Color Run ou le Challenge Du Monde des Grandes Écoles que nous avons faits en 2014 et qui restent deux souvenirs mémorables. »

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