Ce qu’ils ont pensé de l’International Fair 2016 de Sup’Biotech

Le 25 janvier 2016, Sup’Biotech organisait son traditionnel salon, l’International Fair, rassemblant étudiants, parents et universités étrangères partenaires de l’école. L’occasion pour les futurs experts en ingénierie des biotechnologies de découvrir d’autres cultures afin de conforter leur choix de destination pour réaliser leur semestre à l’étranger de 3e année (également possible en 5e année), effectuer un échange académique ou passer un double-diplôme.

Thomas Roirand (Sup’Biotech promo 2019), étudiant en 2e année
« Je voulais me renseigner sur les universités partenaires en vue du semestre à l’International que je devrais effectuer l’an prochain. Avant de venir, j’avais déjà en tête quelques idées de destinations possibles, mais grâce au Forum, j’ai pu aussi découvrir d’autres établissements intéressants, notamment pour les programmes et cours qu’ils proposent. Ce que j’ai le plus apprécié, c’est la proximité avec les personnes présentes, qu’il s’agisse des représentants des universités ou des étudiants de Sup’Biotech revenant de telle ou telle destination pour partager leur expérience. C’est un bon moyen de savoir comment se passent les cours là-bas, à quoi ressemble la vie sur place, etc. Pour le moment, j’ai pu me dresser une short-list de destinations, avec dans l’ordre le Canada, les États-Unis, l’Australie, l’Écosse et l’Irlande. Mon principal but est de pratiquer assidûment l’anglais pour me perfectionner. »

Sukhvir Kaur, étudiante à Chandigarh University, actuellement en échange en 4e année à Sup’Biotech
« Depuis 2015, Chandigarh University fait partie des nouveaux partenaires de Sup’Biotech et j’effectue actuellement un semestre ici dans le cadre d’un programme d’échange. Du coup, je profite de l’événement pour présenter mon université et la culture indienne aux étudiants, mais aussi découvrir d’autres établissements et discuter avec des étudiants de leur expérience à l’étranger. Si les cours de mon université portent généralement sur des domaines bien spécifiques, comme l’immunologie ou la dermatologie, Sup’Biotech apporte une autre approche, avec des cours également consacrés au management, au marketing, etc. Cette diversité est très enrichissante : c’est toujours agréable de découvrir de nouvelles choses. »

Alain, parent d’un étudiant en 2e année
« J’ai accompagné mon fils pour me renseigner sur les possibilités de destinations pour le 1er semestre de 3e année. Je trouve que l’école propose justement un choix très large et très intéressant d’établissements partenaires, avec tous les continents représentés. Même si je suis très attentif au choix que fera mon fils, j’avoue avoir une légère préférence pour l’Écosse et la ville d’Edimbourg, où il y a l’air d’avoir une certaine flexibilité au niveau des sujets pouvant être abordés par les étudiants. Après, toutes les écoles présentes m’ont laissé une bonne impression : le choix ne doit pas être évident à faire ! »

Håvard Jenssen, coordinateur des relations internationales à la Roskilde University
« Roskilde University est une relativement petite université du Danemark qui compte tout de même quelques 10 000 étudiants, dont 500 spécialisés dans les sciences naturelles : mathématiques, physique, chimie, biologie, etc. Nous avons accepté l’invitation de Sup’Biotech car nous sommes toujours très intéressés par le fait d’accueillir des étudiants étrangers sur notre campus. En étant présents aujourd’hui, nous pouvons déjà rencontrer d’éventuels candidats, leur expliquer la vie sur place, mais surtout notre enseignement qui, comparé à d’autres universités, change quelque peu. Par exemple, nous proposons régulièrement à nos étudiants de développer des projets comme le fait Sup’Biotech. Nous profitons également de l’événement pour conseiller les étudiants sur leur future intégration chez nous et sur les opportunités qu’ils doivent saisir. Ainsi, je leur conseille de sortir de leur zone de confort car, même si c’est plus facile de rester avec ses amis lors d’un semestre à l’étranger, il faut surtout profiter du séjour pour faire des rencontres et échanger avec les autres. Trop d’étudiants étrangers ont tendance à ne pas oser se mélanger alors qu’il s’agit de l’une des plus belles choses à faire ! »

Perrine Lasserre (Sup’Biotech promo 2017), étudiante en 4e année
« Même si j’ai déjà fait mon semestre à l’International en 3e année, je suis venue aujourd’hui pour avoir plus de précisions sur les nouvelles destinations mais surtout avoir un vrai contact avec les étudiants revenus et les représentants des différents partenaires de l’école. En effet, je souhaite effectuer à nouveau un semestre à l’étranger en 5e année : pour moi, c’est un plus non négligeable sur un CV – d’autant que je prête attention au classement mondial des universités et aux cours proposés – et un bon tremplin pour trouver un stage de fin d’études par la suite. D’ailleurs, je ne suis pas contre démarrer ma carrière à l’International. Pour l’instant, je me dirige plus vers l’Australie ou la Californie, car je veux à la fois renforcer mon niveau d’anglais et me spécialiser dans la biologie marine. »

Helena Vaughan, responsable académique de l’Edinburgh Napier University
« Nous sommes venus aujourd’hui pour accentuer la visibilité de notre université à l’International et rencontrer les étudiants de Sup’Biotech. D’une manière générale, nous encouragerons également nos étudiants à découvrir de nouveaux pays, de nouvelles cultures, et à croiser des personnes ayant un profil, un background différent du leur. Enfin, nous sommes aussi présents afin de pouvoir développer un axe de collaboration entre nos enseignants et chercheurs avec ceux de Sup’Biotech. Si l’on peut travailler ensemble dans le futur, ce serait l’idéal. Je trouve que le salon est très réussi : nous avons été très bien reçus et sommes ravis de répondre aux nombreuses questions que posent les étudiants ! D’ailleurs, ces derniers n’ont pas peur de pratiquer l’anglais, ce qui est toujours agréable. »