« Il y a une vie après médecine ! »

Actuellement en 2e année à Sup’Biotech, Clara Levi (promo 2020) a rejoint l’école via les admissions parallèles après une première expérience infructueuse en faculté de médecine. Désormais épanouie dans l’univers des biotechnologies, elle démontre que l’on peut toujours rebondir sans mettre ses ambitions de côté.

clara_temoignage_paces_supbiotech_etudiante_medecine_biologie_parcours_admissions_ecole_2016_01.jpgTu as rejoint Sup’Biotech directement en 2e année. Comment s’est passée ton intégration ?
Très bien ! Je suis arrivée à l’école au mois d’août pour, durant deux semaines, suivre un programme intensif destiné à rappeler certaines connaissances ou à en apprendre de nouvelles en informatique, mathématiques et physique. Une fois cette étape passée, j’ai officiellement intégré Sup’Biotech le 5 septembre aux côtés des autres étudiants.

Avant cela, tu faisais des études de médecine, n’est-ce pas ?
Oui. Après mon Bac S, comme j’étais passionnée depuis toute petite par la médecine, j’ai effectué deux fois la première année commune aux études de santé (PACES), à l’université Paris-Diderot, malheureusement sans succès. Je ne regrette pas d’avoir tenté ma chance, même si ces deux années furent très difficiles, surtout au niveau du cheminement psychologique – accepter l’échec n’est jamais évident. Pour autant, avec le recul, je ne retire que du positif de cette expérience. Ces deux années de travail intense me servent pour avancer et me reconvertir. Je sais que tout ce que j’ai pu apprendre durant cette période représente un véritable plus pour la suite de mon parcours, tant au niveau des connaissances que de la manière de travailler ou d’évoluer au sein d’un environnement extrêmement compétitif.

Contrairement à la compétition inhérente à la première de médecine, Sup’Biotech préfère valoriser la réalisation de projets et le travail d’équipe. Ce changement te convient-il ?
C’est le cas. Ici, on est plus encadrés et on construit de fortes relations avec les enseignants et les autres étudiants. En même temps, cette expérience en faculté de médecine m’a rappelé que j’aspirais depuis longtemps à travailler au sein d’une équipe, pourquoi pas dans la recherche, plutôt que seule dans un cabinet. En fait, cette ambition a toujours été là, je l’avais seulement mise de côté. En réfléchissant à ma réorientation, j’ai réalisé que cette envie pouvait coller avec le métier d’ingénieur. Voilà pourquoi, dès le mois de février 2016, j’ai commencé à m’intéresser à Sup’Biotech. Sur les salons étudiants comme lors des Journées Portes Ouvertes, j’ai alors pu rencontrer énormément d’étudiants de l’école et échanger avec eux. Certains avaient également fait une PACES avant d’intégrer l’école et je pouvais voir qu’ils vivaient très bien leur nouvelle situation. Cela montre qu’il y a une vie après médecine, qu’il est toujours possible de se reconvertir et de s’épanouir sans pour autant enterrer ses envies de travailler dans le secteur de la santé. Par contre, maintenant que j’ai pu découvrir de nouvelles disciplines ici, comme le marketing, la production ou encore le contrôle qualité, je ne sais pas encore si je finirai par travailler dans ce secteur. Les biotechnologies offrent de nombreuses opportunités et il me reste encore du temps pour savoir vers quel métier je souhaite me diriger.

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