Retour sur l’Université de la Terre avec Elina Lamarque (Sup’Biotech promo 2019)

Partenaire de la 6e édition de l’Université de la Terre, le Groupe IONIS a permis aux étudiants de ses écoles de participer à ce grand forum d’échanges entre experts et grand public ayant pour thématique cette année « Faisons changer tous les climats ! ». Parmi les heureux participants se trouvait Elina Lamarque (Sup’Biotech promo 2019), une étudiante en 2e année qui a suivi la conférence « Comment la recherche et l’innovation peuvent-elles sauver la planète ? ».

universite_terre_supbiotech_ionis_education_group_retour_temoignage_conference_climat_etudiante_02.jpgComment s’est déroulée la conférence à laquelle tu as assisté ?
Lors de la conférence, nous avons pu suivre les interventions de Fatoumata Kebe, doctorante en astronomie et Matthieu Villiers, directeur de la rédaction du magazine Science & Vie. C’était l’occasion de revenir sur deux problèmes majeurs – la pollution de l’espace par les déchets spatiaux et le climat, sujet principal de la COP21 ayant lieu en début de semaine – et leurs conséquences possibles si rien n’était fait.

Pourquoi avais-tu choisi d’assister à cette thématique en particulier ?
Étant étudiante à Sup’Biotech, ce sujet m’a paru intéressant car, pour trouver de possibles « solutions », il faut d’abord connaître toutes les variables du problème présent. De plus, le climat et la détérioration de notre planète sont malheureusement des sujets qui doivent être pris en considération par les générations actuelles pour les générations futures.



Qu’as-tu pensé de cette 6e édition de l’Université de la Terre ?
C’est un événement qui favorise réellement les rencontres : j’ai notamment pu discuter avec des étudiants de différentes écoles et ainsi découvrir des domaines très variés. Ces instants d’échange, on les retrouve aussi durant les conférences, quand le public prend la parole et s’entretient directement avec les intervenants. Il se crée à ce moment-là un vrai lien entre les professionnels et le public, chose qui est malheureusement souvent oubliée ou mise de côté lors d’autres événements du même genre.
J’ai ainsi eu l’occasion de poser une question : « Comment s’entendre à l’échelle internationale pour décider d’un programme d’actions qui nous engagerait tous ? » Bien qu’un membre du public y ait répondu en partie, Fatoumata Kebe appuya sur l’importance du lien entre professionnels et « profanes » : comme ces problèmes touchent la Terre entière, les solutions pour sauver notre planète doivent être élaborées par tous et non pas uniquement par les scientifiques.

Au final, quel enseignement tires-tu de cet événement ?
Ce fut une expérience très enrichissante, aussi bien de par les sujets abordés que par la découverte d’un environnement et d’une ambiance spécifique à une conférence. De plus, bien que les intervenants aient pris du temps à exposer les problèmes et les conséquences encourues, le sentiment d’impuissance ne s’est pas fait ressentir à la fin de la conférence. Au contraire, comme l’a dit Fatoumata Kebe en conclusion : « ils ne savaient pas que c’était impossible alors ils l’ont fait ».

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